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À propos de moi

Née à Gênes en Italie j’ai fait des études techniques de géomètre.
Le besoin de comprendre le monde et de sens m’ont poussé au voyage :

pendant 10 ans j’ai sillonné le monde en enchaînant avions et jobs alimentaires. La France, l’île de La Réunion, l’Australie, Madagascar, Thaïlande, nouvelle calédonie, l’Espagne…
C’est que à la naissance de mon premier enfant qu'un éclaire de conscience m’a traversé : les lois universelles.


Au delà de tous artifices humains nous sommes une partie fractale du cosmos et son énergie de vie pulse en nous.


J’ai planté mes racines dans le sud des landes et j’ai entamé les études de SHIATSU et de MTC, enfin du sens! Toutes ces connaissances que je connaissais déjà et que j’avais oublié… mon chemin de guérison intérieur avait commencé. Aujourd’hui je suis maman de deux enfants, praticienne en SHIATSU et formatrice. Ma vocation est d'accompagner mes patients et élèves à ce retour vers le mouvement fluide de la vie.

Mes formations et diplômes

2016 : Certification professionnelle "Spécialiste en Shiatsu" (Koho Shiatsu)

4 années à l'École Shin Wa Shiatsu Dô -Shiatsu thérapeutique Pays Basque 

TITRE DE NIVEAU 3, code NSF 330

Formation complémentaires spécifiques

- médecine chinoise
- macrobiotique
- ventouses

Formations de développement de la pratique

Qi gong et Reiki 1er degrés

Glenda Piccardo - KOHO SHIATSU
Glenda Piccardo - KOHO SHIATSU

"Je ne pourrai jamais être celui qui te guérit, cette responsabilité ne m'appartient pas.
Par contre, je peux être celui qui t'encourage à trouver ce pouvoir de guérison à l'intérieur de toi."

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À propos du KOHO SHIATSU

QU'EST CE QUE LE KOHO SHIATSU ?

Littéralement PRESSION AVEC LES DOIGTS, le SHIATSU est une discipline manuelle japonaise issue des épousailles entre la Théorie de la Médecine Traditionnelle Chinoise et les thérapies manuelles ancestrales pratiquées au Japon.

Le ministère de la Santé japonais qui reconnut officiellement le SHIATSU en 1955, le définit comme étant :« une méthode thérapeutique manuelle, employant les pouces, les autres doigts et la paume de la main, sans adjonction d’aucun instrument mécanique ou autre, pour appliquer des pressions sur des points déterminés de la peau, afin de corriger un dysfonctionnement interne, promouvoir et maintenir la santé et traiter certaines affections spécifiques en réactivant la capacité naturelle d’auto guérison de l’individu. »

UN PEU D'HISTOIRE

La plus ancienne des techniques manuelles est nommée TEATE (mains dessus) et elle est mentionnée dans un texte datant de 2.000 ans.

Au fil du temps, la technique manuelle japonaise prend le nom de Anma qui connut son apogée à l’époque EDO (1616-1867). Dans le livre Ampuku Zukai, écrit en 1827 par Shinsai Ota, sont décrits les premiers protocoles de pressions, fondateurs du Shiatsu actuel.

C’est au début du XXème siècle que, sous la pression de la culture occidentale envahissant le Japon, des médecins japonais réagirent pour préserver leur héritage médical :
À partir de 1868, la médecine occidentale fut imposée et les disciplines manuelles de prévention d’un état de bien être par des vibrations, percussions et étirements perdirent de leur importance, au profit de techniques curatives comme la chiropraxie, l’ostéopathie et les « massages occidentaux ».

L’AnMa devint une spécialité pratiquement réservée aux non-voyants, qui œuvraient sous la protection d’un diplôme d’Etat. En parallèle se développait la pratique du SHIATSU, qui remplaçais  la pression des doigts aux massages. Le mot Shiatsu apparut la première fois dans le livre Shiatsu Ryoho, publié en 1939, sous la signature de Tenpeki Tamai.

La première clinique à utiliser un protocole Shiatsu fut ouverte par Tokujiro Namikoshi en 1925 et, en 1940, il ouvrit la première école de formation de praticiens en Shiatsu.

En 1947 le gouvernement japonais se vit imposer par les États Unis l’élimination de la quasi-totalité de ses thérapies inscrites à la préfecture de Tokyo. Seul le Shiatsu fut retenu et reconnu pour son efficacité.

 

Le Koho Shiatsu s'appuie sur les fondamentaux de la Médecine Traditionnelle Chinoise. Il est issu de la tradition taoïste et également de l’enseignement de Maître Okuyama Ryuho. On utilise les points d'acupuncture des différents méridiens au travers desquels circulent l'énergie vitale, le Qi.
Le principe de la méthode Koho Shiatsu consiste à appliquer la pression sur les Tsubos situés sur les Keiraku (méridiens) tout en évitant les parties endommagés, malades, ou douloureuses.

En 1997, le shiatsu est citée par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), dans le cadre de la loi Lannoye-Collins et obtient un vote favorable au Parlement de Bruxelles et le shiatsu est retenus dans les huit approches alternatives désignées dans la résolution A4-0075/97 du Parlement européen votée le 29 mai 1997, comme « médecine non conventionnelle digne d’intérêt ».

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